J'ai toujours été passionné,un peu touche à tout...

J'ai commencé la photographie dans les années 80 avec un Nikon FE, puis un F2 titanium avec deux objectifs un 55mm macro et un 28mm.

J'utilisais beaucoup les films réversibles Velvia même si ce film donnait des couleurs un "peu" plus saturées que la réalité.

L'arrivée des numériques sonna le glas de l'argentique, même si certains y reviennent. Ce fut pour moi la traversée du désert.

La démocratisation du numérique et l'acquisition d'un Nikon D90 m'a permis de reprendre la photographie.

Je l'ai utilisé pour photographier paysages et portraits comme lors d'un reportage en Mongolie.

Ensuite, je fis l'acquisition d'un D800E et des objectifs FX comme le 105 f2.8 macro, le 70-200 f2.8 ou le 16-35 f4.

En 2018, retour à la montagne, le D800E me semblait un peu encombrant et lourd. En effet pas facile de le sortir en pleine ascension.

Objectif Bastille m'a alors prêté pendant 4 jours, un X-T2 avec le objectif du kit 18-55 f2.8-4.5 pour l'ascension du Grand Paradis, sommet de 4061m dans le massif italien du Grand Paradis.

Pas le même poids ! On passe d'environ 1,5kg avec objectif à 1kg ! Certes, j'ai trouvé la qualité des images un peu en-dessous du D800E muni d'objectifs professionnels mais j'ai pu sortir des impressions au format A2 sans problème comme une image du Ciarforon.

Le souci majeur avec le Fuji est le manque de marge des corrections, on a vite fait d'avoir des artefacts dès que l'on touche les curseurs de lightroom un peu trop fort.

Néanmoins, la gamme X-T de Fuji me permet de partir léger quand je n'ai pas envie de sortir le gros matériel. Je prends donc le Fuji X-T3 maintenant lorsque je pars en ski de rando ou alpinisme avec le 27mm f2.8. Là c'est vraiment léger.

Retour chez Nikon avec le Z8, appareil fabuleux qui est très polyvalent et vraiment top.

Après un stage sur le Grand Format chez Eric Bouvet, plusieurs projets ont pris naissance, la réalisation à la chambre des principaux sommets de l'Oisans...